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Louloute & Cie

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30 avril 2012

Les bonnes intentions

creche Je suis très contente que mes enfants soient à la crèche. Vraiment. Ils font plein d'activités, découvrent la vie en collectivité, et sont super bien encadrés par les filles diplômées de tellement plein de choses (auxiliaures puéricultrices, éducatrices de jeunes enfants, puéricultrices, pédo-psychiatres, etc ...) qu'elles connaissent mieux mes enfants que moi.

Mais parfois, la crèche, j'en ai un peu ras le bol.

Marre des conseils quotidiens de "faudrait faire comme ci" ou "faudrait faire ça" (il a la diarrhée, il faudrait qu'il arrête les produits laitiers et mange du riz et des carottes" Ah bon ? Moi je pensais plutôt à de la tomate et des pruneaux tiens ...)

Marre de devoir venir les chercher en catastrophe dès que la température monte (Camille a 38°C, encore une otite, biensur que je vais l'emmener chez le médecin ! O_O').

Marre des commentaires déplacés ("Oh c'est bien, vous venez les chercher plus tôt en ce moment !" Crois bien que si je pouvais tout le temps, je le ferai !).

Marre des conseils à deux balles ("Ca serait mieux pour lui de se reposer à la maison" D'accord, et j'explique comment à mon patron que je vais encore rater un jour de travail ? Je n'ai pas de jour enfant malade, je vous déduis mon énième jour de paye supprimé de la facture de la crèche ?)

Alors oui, je travaille. Pas aux 35h, mais 39h par semaine, minimum. J'ai un poste à responsabilité, j'ai des obligations envers mes clients, et assez de conscience professionnelle pour assurer correctement mon travail et mes délais. Je suis employée dans une PME, je ne suis pas mon patron.

Et oui, j'aime mes enfants, et je fais ce que je peux pour qu'ils soient heureux et en bonne santé. Je suis assez intelligente pour avoir ouvert des livres de puériculture, avoir posé des questions à mon médecin, ma mère, ma soeurs, des mamans aguérries !

Alors par pitié, foutez-moi la paix ! Avec leurs voix miélleuses et leur monde de bisounours, je me prends des remarques culpabilisante de la maman qui fait passer son travail avant ses enfants.

Dernier exemple en date :

Nous avons eu un petit mot comme quoi il est GRANDEMENT RECOMMANDE aux enfants de grande section de ne pas allez à la crèche la dernière semaine d'août, ceci afin de préparer au mieux la rentrée à l'école.

Ok, je prends note.

Sauf que, détail important, mon mari vient de changer de boîte. Il n'a donc qu'une semaine de congé, et qu'il ne peut poser qu'en juillet. De mon coté, le patron a décidé de fermer la boite la 2ème et 3ème semaine d'août. Je ne peux donc poser ma 3ème semaine de congé qu'en juillet, pour partir avec mon mari. Et du fait de mon congé parental en 2011, il me reste environ 5 jours de congés à poser jusqu'en mai 2013. Il nous est donc impossible de garder Lucie la dernière semaine d'août, sous peine de ne plus avoir de congés du tout, ou d'avoir un trou béant sur le compte en banque avec un congé sans solde (et pas dit que le patron soit d'accord en plus).

Mes parents travaillent encore, ma soeur sera en train de préparer sa rentrée (elle est instit), mes beaux-parents sont à l'autre bout du monde. Je n'ai donc personne de confiance en solution de secours. Reste l'option belle-soeur, mais comme elle cherche du travail, il n'est absolument pas sur qu'elle soit disponible.

J'explique donc la situation à la directrice : "Mais c'est ennuyeux, TOUS les parents ont suivi les recommandations, par expérience on a constaté que c'était vraiment mieux, ça évite des problèmes d'adaptation. Lucie sera la seule de grande section cette semaine là ! Il faut vraiment que vous trouviez une solution !" Et donc ? Je fais comment ? Je trouve une nounou que je ne connais pas ? Que Lucie ne connait pas ? Une personne en qui je n'ai pas confiance ? C'est mieux vous trouvez pour son adaptation ??? Moi je ne trouve pas. Lucie sera donc à la crèche la dernière semaine d'août si ma belle-soeur ne peut pas la garder.

Fin de la discussion.

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26 mars 2012

Customisation

Un doudou, c'est bien.

Un doudou, c'est unique.

Et ça, notre pauvre Moumout le sait très bien, car Lucie a décidé de le personnaliser au gré de ses envies.

 

Démonstration :

Doudou punk (appelé sobrement "doudou dessin"):

Copie de carte pole emploi 023 Doudou 39.3°C (ou "Doudou il est malade"):

Copie de IMG_0392

25 mars 2012

Rayon de soleil

PETIT_BOUQUET_SUR_TABLE_JAUNE-3018_1 Samedi matin. J'ai passé une mauvaise nuit. Insomnies, réveils multiples, contrariétés en tout genre qui vous triturent le cerveau jusqu'à vous empêcher de fermer les yeux.

9h00. Une souris se glisse en douce dans la pénombre de ma chambre. J'entends ses petits pas feutrés sur la moquette. Elle s'approche doucement de moi, j'ouvre la paupière et vois une main tendue vers moi "Tiens maman, c'est pour toi !".

Encore hagard, je prends les "choses" tendues, assez surprise par la consistance inattendue.

Qu'est-ce ? Des grappes ? C'est végétal en tout cas. Mais qu'est-ce que c'est ?

Réponse :

Copie de IMG_0394 Oh, merci mon coeur ! Des jolies fleurs pour moi !

(Reflexion ... Mais d'où viennent-elles ? Lucie est encore en pyjama ... Les fleurs sont fraïches ... Ah, oui ... )

Ma chérie, c'est vraiment adorable de ta part, mais s'il te plait, il ne faut pas cueillir les 3 seules malheureuses fleurs du balcon !

(Qu'est-ce que je t'aime ma Lulu d'amour ♥)

24 mars 2012

Le Docteur Léon Dufour

pat028 Devant cette actualité un peu trop noire et déprimante, j'ai eu envie de remettre un peu de soleil.

Une nouvelle catégorie est née, pour rendre hommage à des héros du quotidien, de la vie ordinaire, qui ont su changer les choses à petite ou grande échelle, par la force de leur volonté et de leurs convictions.

A l'occasion d'un week-end à Fécamp, je suis passée devant une stèle en hommage au Docteur Dufour, fondateur de la "Goutte de Lait". Stèle simple, un buste avec des enfants de part et d'autre. Et aucune explication sur ce mystérieux Docteur Dufour.

Retour chez moi, connexion Internet, je découvre :

A peine âgé de 25 ans, Léon Dufour est lauréat du concours de chirurgie et d'accouchement de la Faculté de Nancy. Il s'installe à Fécamp le 29 novembre 1881 comme "Docteur-Médecin"; 65 quai Bérigny, devant la forêt de mâts des navires qui font la célébrité de la Capitale des Terre-neuvas. Près de 3.000 marins partent en mer pendant de longs mois.

Le quartier maritime abrite les logements des marins, parfois très précaires, et pendant que les femmes travaillent au poisson, les enfants jouent dans les rues, mal pavées en galets de mer, où "les détritus de poissons se décomposent, se putréfient, répandant des odeurs fétides".

Fécamp, ville de 13.000 habitants, ne compte alors que 5 médecins (80 en 2002 !). La médecine est chère, il n'y a pas de Sécurité Sociale. C'est donc à toute extrémité que le malade a recours au médecin, très souvent après avoir réalisé que le rebouteux n'a pas réussi à le guérir.

Léon Dufour constate avec stupeur que la mortalité infantile est beaucoup plus importante dans le quartier maritime que dans le centre-ville. Les épidémies de diphtérie causent des ravages, les entérites sévissent à cause de "l'alimentation vicieuse" des nouveaux-nés.

En 1889, le Docteur Dufour est nommé médecin adjoint de l'Hôpital de Fécamp. Il manifeste alors une diplomatie remarquable auprès de la municipalité qui accueille les propositions de ce médecin généreux et désintéressé.

En mai 1889, dans le Journal de Fécamp, Léon Dufour part en guerre contre le manque d'hygiène qui sévit dans la ville et les foyers.

En 1890, le nettoyage des rues est assuré.

En 1893, il suscite la création d'une Commission d'Hygiène qui obtient l'enlèvement des ordures ménagères et l'installation de tinettes et de fosses septiques.

En 1895, une "Oeuvre de Maternité" assure le prêt de draps et de linge pour les bébés.

En 1897, Les Bains-Douches publics à bon marché sont installés rue de l'Aumône.

En 1898, Léon Dufour assure une série de conférences sur l'hygiène pour les enfants de 10 à 13 ans.

Surtout, "le bon Docteur Dufour" s'intéresse à la santé des nouveaux nés. Il fait preuve d'une patience et d'une persévérance sans bornes pour éduquer les jeunes mamans bien souvent ignorantes des dangers du manque d'hygiène pour leurs bébés.

C'est l'origine de la création de "L'oeuvre de la Goutte de Lait" en 1894. Le premier but est de "lutter contre la mortalité des enfants du premier âge". Le Docteur Dufour prône l'importance et la qualité de l'allaitement maternel, mais il est conscient de la difficulté, voire de l'impossibilité que rencontrent les jeunes mères travaillant en atelier. Alors, "faute de mieux" - c'est la devise de la nouvelle oeuvre - il propose d'assurer une alimentation équilibrée aussi proche que possible du lait maternel : tous les jours, dans les locaux de la "Goutte de Lait", rue du Précieux Sang, est assurée la préparation de petits paniers de 8 à 10 biberons, ration quotidienne pour un nouveau né. Non seulement le lait est rigoureusement sélectionné, mais il est "humanisé" pour le rendre plus digeste et de plus pasteurisé. Les familles dans le besoin peuvent retirer gratuitement ces biberons.

Ce n'est pas tout : une consultation pour les nourrissons est ouverte tous les jours. Méfiantes au début, (on est en Normandie !) les jeunes mamans apprennent peu à peu à surveiller le poids, l'évolution et l'alimentation de leurs enfants. Le Docteur Dufour ne craint pas de laisser ouverte la porte de son cabinet de consultation ; ainsi de la salle d'attente, chacune peut mettre à profit les conseils maintes fois exprimés.

C'est à partir de cette institution, très modeste au début en 1894, que le Docteur Dufour aidé par des religieuses de Saint-Vincent-de-Paul et par des bénévoles de plus en plus nombreuses, va enrayer de façon spectaculaire la mortalité infantile.

Cet exemple fait bientôt école, à tel point qu'avant la guerre de 1914, il y a plus de 100 "Gouttes de Lait" en France et leur installation s'étend à travers les continents, en Amérique, en Australie et jusqu'à Madagascar.

L'action bienfaisante de Léon Dufour est reconnue dans le monde entier, mais pourtant ce n'est qu'en 1913 qu'il sera nommé Chevalier de la Légion d'Honneur et en 1923, Grand Officier. La municipalité fécampoise décide même de donner son nom au prolongement de la rue où il demeure et, ce qui est exceptionnel, de son vivant en 1926.

Ces distinctions honorifiques et bien d'autres venues du monde scientifique ou universitaire n'entament jamais la modestie du Docteur Dufour ; c'est presque avec étonnement qu'il les reçoit. L'essentiel est que l'oeuvre qu'il a créée porte ses fruits et soit reconnue mondialement.

Pourtant en 2002, le Docteur Dufour... n'a même pas de tombe et aucune stèle, aucune marque ne permet d'identifier sa sépulture au cimetière de Fécamp.

Les Amis du Vieux Fécamp désireux de souligner l'oeuvre humanitaire de leur premier Président, ont ouvert une souscription au Crédit Fécampois - "Hommage au Docteur Léon Dufour" - pour rendre décente la dernière demeure d'un grand bienfaiteur des enfants, non seulement de Fécamp, mais de toute l'humanité.

Un petit hommage à un Grand Homme.

24 mars 2012

Maman, pourquoi ...

maisparceque Depuis quelques jours, la Lulu m'assaille de questions.

Voici un petit extrait d'un soir, en sortant de la crèche :

- Maman, pourquoi on va rentrer à la maison ?

- Parce que c'est le soir et que la crèche elle va fermer.

- Et pourquoi on va manger ?

- Parce qu'on a faim ma chéri !

- Pourquoi on fait le bain ?

- Pour se laver et sentir bon sous les bras !

- Pourquoi on fait dodo ?

- Parce qu'il faut se reposer !

Petite pose, j'attache le Camillou dans la voiture

- Regarde, un caca de chien ... (réflexion) Pourquoi le chien il fait caca ?

- Euh ... (réflexion aussi) Parce qu'il mange, et après il fait caca, comme Lucie.

- Mais pourquoi il fait caca dans la rue ?

- Euh ... (intense réflexion à nouveau) ... Parce qu'il n'a pas de couche, et ne sait pas aller aux toilettes !

On monte dans la voiture

- Et pourquoi j'ai des oreilles ?

- Pour entendre, ma puce.

- Et pourquoi j'ai des doigts ?

- Pour attraper des choses, montrer, gratter, dessiner, tout ça !

- Et pourquoi j'ai des pieds ?

- (au bord de l'exaspération) Pour courir, pour marcher !

- Et pourquoi y'a des mouches qui volent dehors ?

- Rhhaaaa ! Mais j'en sais rien moi !!!

 

Bref, ma fille a 3 ans ...!

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16 mars 2012

Note pour plus tard ...

 ... planquer les post-it !

Copie de photo 038

 

 

 

 

Copie de photo 090

 Copie de photo 048

 

 

 

15 mars 2012

Un dimanche ordinaire

rue-du-bonheurCela débute par des rires de P'tite Lulu, provenant du salon. J'ouvre les yeux, il est 8h30 et les rayons du soleil traversent les volets. Je me lève, les cheveux en bataille, enfile une robe de chambre et me prépare mon bol de céréales, les yeux toujours perdus entre brouillard et lumière.

J'arrive dans le salon, et là, auprès de leur papa, deux regards s'illuminent, deux merveilleux sourires apparaissent : "C'est maman !!!" Une Lulu qui me saute au cou pour un "câlin-câlin", un Camillou qui râle parce c'est à son tour de faire le câlin ! On déjeune en famille, dans l'odeur du pain grillé et de la confiture.

Puis une douche partagée avec Lucie, on se savonne, on frotte les cheveux, on se rince en échangeant nos places sous le jet d'eau tiède. "Allez c'est mon tour !" "Non c'est mon tour!". On sort, on se sèche, on s'habille, fin prêtes et fraîchement pomponnées.

Vient l'heure des jeux, des dessins, petit Camille en mode "crapaud" dans le couloir. Et surtout des rires, des chamailleries entre frangins, du bonheur distillé dans tout l'appartement.

Il est midi, 4 à table, on mange avec appétit, on se raconte des anecdotes, on blague, sous le regard interrogateur d'un Camille curieux, et le sourire malicieux de Lucie. Mais les paupières sont lourdes, les premiers baillements apparaissent. Chaque loulou va alors rejoindre sa chambre où, volets fermés, ils laisseront à leurs parents presque 3h de tranquillité et de repos.

16h30, telle une petite souris, Lucie arrive, à pas discrets et légers, les couettes de travers et les yeux encore ensommeillés. Mais toujours son petit sourire en coin. "Tu as bien dormi ma chérie ?" "Oui j'ai bien dormi !" Un petit goûter s'improvise alors. Suivra le petit frère, chantant dans son lit pour nous dire "Moi aussi je suis réveillé ! Moi aussi je veux goûter !"

"Et si on faisait un chateau ?" Cubes en bois étalés sur le tapis molletonné du salon, nous commençons à élever nos constructions. C'était sans compter sur la manie de Camille de mettre à plat la moindre tour à peine sortie de terre, le tout avec le sourire le plus coquin du monde ! "Non Camille ! Tu casses pas !" Il n'en fallait pas plus pour le motiver à abattre nos construction avec encore plus d'ardeur et d'éclats de rire !

Le soleil se couche doucement à l'horizon. Après un repas gourmand et un Camillou déjà parti au pays des rêves, je fais une petite escale sur le balcon avec Lucie. Le spectacle la réjouit au plus haut point : les lumières scintillantes de la Tour Eiffel, et son phare fantastique que nous attendons à chacune de ses rotation en comptant jusqu'à 10, et accueillons à grands renforts de "Ah! Ah! Ah ! Aaaaah !!!!".

Enfin, le petit rituel du soir : on se brosse les dents ensemble, on se lave les mains soignement, on enfile nos pyjamas. Lucie va choisir un livre dans sa bibliothèque déjà bien fournie, que nous lirons ensemble, l'une contre l'autre. Un dernier câlin, ah non, encore un autre, un bisou sur la joue, et petite Lucie s'enfouit dans sa couette, pendant que ses parents iront retrouver la leur !

13 mars 2012

Hors norme

nakedtruth Je suis grosse. Pas ronde, mais grosse.

Il y a peu, j'ai changé de catégorie. Il y a 10 ans, avec ma taille 40, je rêvais d'un 38 svelte, d'un jean's 501 taille 28, de minceur et de ventre plat.

Deux enfants et un stérilet plus tard, me voici arrivé à un beau 46.

Mais 46, c'est trop, ou pas assez.

Trop dans la tête, trop dans les vêtements biensur ! Mais surtout, trop pour s'habiller dans un magasin lambda, un Promod ou un Zara. Là-bas, le 46 n'existe pas. Le 46 c'est hors norme. Le 46, c'est "tu n'as pas le droit de t'habiller chez nous ! Sors d'ici la grosse !" Et quand bien même tu arriverais à en trouver un, ne rêve pas, tu ne rentreras jamais dedans ! Comme pour te dire "Non, non, n'insiste pas, tu es vraiment TROP grosse !"

Alors je vais chez "La Halle" ou "Kiabi", ces enseignes qui ont la gentillesse (et le sens commercial aiguillisé) pour habiller la ménagère à l'IMC supérieur à 25.

Parce que oui, chez eux, on trouve notre rayon ! Le rayon "Grandes tailles" ! Des cols ronds pour cacher les seins volumineux et détendus, des manches pour dissimuler des avant bras un peu flasques, et des couleurs criardes, des motifs sans charme, des paillettes à tout va. L'impression que "grosse" rime avec "Mémé va en sortie au Cabaret avec le club du 3ème âge !".

Alors pourquoi je ne serais pas assez grosse ? Et bien figurez-vous que dans ces rayons, il n'y a pas ma taille ! Je ne suis pas assez grosse ! Un comble non ? Avec un peu de chance, j'arriverai à me dégoter un jean slim 46 entre deux 54, et une jolie tunique qui ne ressemble pas à un sac à patates.

Alors je passe des heures à fouiller, à chercher dans tous les rayons, les rares choses qui, d'une part, m'iront, et surtout me plairont ! Seule exception : Gemo. Un style plus marqué, et ma taille !

Moralité : S'il peut paraître curieux de se dire, à un moment donné, qu'on n'est pas assez grosse, il faut quand même que je me motive sérieusement pour perdre une taille !!!

Petite consolation : Ma Lulu a le même soucis que moi ! Entre 2 et 3 ans, les enfants sont à cheval entre les rayons bébés et les rayons enfants. Et cela devient un vrai casse-tête pour trouver des vêtements à leur taille !

12 mars 2012

J'ai snoodé !

tricot Snood par ci, snood par là ... Et bien oui ! Moi aussi j'ai snoodé !

Oui, je suis une piètre tricoteuse, ma grand-mère ferait mieux que moi, avec les pieds et les yeux bandés ... Et plus vite surtout !

Depuis quelques temps, j'avais envie d'apprendre à tricoter en circulaire. Aiguilles achetées, câble (trop long) achetée, laine (Phildar Rapido craie) achetée. Et hop, je profite d'un trico'thé pour me lancer, histoire de glaner quelques conseils. Bien m'en a pris, car la talentueuse Marie nous a montrer le montage des mailles à la française, très pratique quand on ne sait pas quelle longueur de laine garder !

A la base, c'était censé être un cadeau de Noël, puis Noël est passé ... Alors un cadeau d'anniversaire ! Mais l'anniversaire est passé aussi ... Alors ça sera un cadeau pour moi ! Je l'ai enfin fini et les températures remontent ... grrrr !!! Alors pour l'hiver prochain ...

Copie de jhf 003  

Honnêtement, il n'est pas terrible, trop lâche, plein de défauts, car je n'arrive pas à changer de pelote proprement. Mais il est fini, c'est déjà pas si mal ! Et tout moelleux et confortable !

Allez, peut-être que si j'en commence un maintenant, il sera fini pour l'hiver prochain !

9 février 2012

Petite Bricole

feutrine J'ai longtemps cherché un joli abat-jour pour habiller la chambre de Camille. Mais entre le peu d'originalité et les prix rébarbatifs, j'ai vite laissé tomber.

Et puis l'inspiration m'est venue chez une certaine Berlinoise ...

J'ai donc filé chez le fameux suédois pour acheter un abat-jour boule façon japonaise, sobre, simple, pas cher (1.49€ !).

Ensuite, à l'occasion d'une visite au Salon des Loisirs créatifs, j'ai acheté un lot de coupon de feutrine.

Un peu de temps, des ciseaux et un tube de colle liquide plus tard :

photo

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